23 juillet 1825 : une absurdité de Mendelssohn
Instant classique – 23 juillet 1825… 194 ans jour pour jour. Felix Mendelssohn a seize ans lorsqu’il compose un capriccio pour piano, première partition pour cet instrument qui sera publiée trois ans plus tard.
Le compositeur n’a pas été tendre avec cette œuvre, qu’il considérait comme « une absurdité » (en français dans le texte). Très classique dans sa construction, ce capriccio a inspiré ce commentaire à Rossini (qui l’a entendu à Francfort plus de dix ans après) : « ça sent la sonate de Scarlatti ».
Tiens, oui, maintenant que tu le dis, maestro Gioachino, c’est vrai que ça y fait penser quelque peu, ce qui ne rend certes pas cette partition de jeunesse aussi « absurde » que ça !